Publié dans Sport

Stade d’Elgeco Plus By-pass - Le nombre de place s’élargit à 4 750

Publié le jeudi, 10 août 2023

Le nouveau gradin du stade d’Elgeco Plus By- pass avec une capacité de 4 750 places vient d’être inauguré. La cérémonie officielle d’inauguration a eu lieu,  hier, en présence du Président de la République, Andry Rajoelina.

 Le stade d’Elgeco Plus abritera des matchs éliminatoires des Jeux des îles de football. Les agrandissements du stade ont été conçus dans les normes requises par la CAF et la FIFA.

Le nouveau gradin de trois étages renferme une salle de cinéma, des nouveaux vestiaires et un hôtel au sein du stade. 

Le président d’honneur du club Elgeco Plus et non moins vice-président de la fédération malagasy, Alfred Andriamanampisoa n’a pas manqué l’occasion de remercier le Chef d’Etat malagasy. «  Les travaux de réhabilitation  continuent. L’objectif est d’atteindre les 8 000 places et tous ces travaux sont dans le cadre du développement du  football malagasy », avance le président directeur général du club. 

Pour rappel, le club avait commencé avec le Real Manakara avant de faire une fusion avec l’As Saint Michel Football et évoluait dans la ligue Analamanga avant de gagner plusieurs titres nationaux. Le club sera le seul représentant de Madagascar à la Coupe de la CAF.

 

Rappelons que la capacité précédente du club était de 2 000 places. 

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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